mardi 22 juillet 2014

La banque des Brics





 Les grands pays émergents sont sur le point de se doter d'institutions financières rivalisant avec la Banque mondiale et le FMI et c'est au Brésil que ça se passe, à Fortaleza où se tient la semaine prochaine le sommet des Brics.


Cette ville du Nordeste restera dans le cœur des Brésiliens comme celle de la dernière victoire de la Seleçao avant l'humiliation face à l'Allemagne. Et puis si tout va bien, tout comme la station américaine de sports d'hiver Bretton Woods, qui est restée dans l'histoire comme le symbole des institutions financières internationales, Fortaleza sera associée au nouvel ordre mondial que les Brics veulent mettre sur pied. Car les cinq grands pays émergents se retrouvent à partir du mardi 15 juillet dans la cité brésilienne pour finaliser le lancement d'une banque de développement et d'un fonds de réserve.

La première, baptisée Nouvelle banque de développement, pourrait avoir 100 milliards de dollars de crédit à distribuer. Son siège sera à Shanghai, en Chine, a annoncé aujourd'hui la Russie qui préside actuellement le club des Brics et elle sera opérationnelle dès 2016. Par ailleurs le club des cinq crée un fonds de réserve doté de 100 milliards de dollars, un mini FMI, disent ses promoteurs, à même de soutenir un Etat au bord de la faillite ou confronté à une crise des changes.
Cette banque et ce fonds des Brics vont-ils vraiment concurrencer les institutions de Washington ?
La banque de développement qui servira à financer des infrastructures sera moins regardante sur les conditions des prêts que la Banque mondiale. Elle va donc attirer les Etats les plus fragiles. Ils y gagneront à court terme, mais ils prennent aussi le risque de se doter d'éléphants blancs qui plombent les comptes plutôt qu'ils ne soutiennent la croissance. En revanche, le fonds de réserve suscite des réactions plus positives. Il est perçu comme un outil précieux aux mains de pays souvent malmenés par le roi dollar. Ces nouveaux établissements seront surtout des instruments de puissance pour les Brics sous-représentés dans les institutions internationales.
La réforme du FMI qui devrait leur donner plus de voix dans ces assemblées est toujours bloquée par le Congrès américain. Enfin, en terme d'image, l'évènement est une aubaine pour le pays hôte qui a besoin de panser les blessures laissées par la défaite de son équipe à la coupe du monde. C'est bien sûr une jolie rampe de lancement pour sa présidente Dilma Roussef, candidate à un second mandat. Le nouveau Premier ministre indien Narendra Modi trouve aussi à Fortaleza sa première tribune planétaire. Quant à la Russie, sanctionnée par l'Occident pour son soutien aux séparatistes ukrainiens, elle entend bien rebondir sur la scène internationale à travers ces initiatives de diplomatie économique.
Les Brics ont-ils les moyens de leurs ambitions ?
La Chine, incontestablement, a les poches assez pleines pour doter ces nouvelles institutions, c'est d'ailleurs Pékin qui apporte la contribution essentielle, à hauteur de 40%. Quant aux autres pays, en terme de produit intérieur brut, ils ne pèsent pas très lourd face à la deuxième puissance économique mondiale. Et surtout, ils sont tous aujourd'hui en mauvaise posture sur le plan économique. Partout, la croissance marque le pas, Chine comprise.
Si les autorités de Pékin manœuvrent délicatement pour éviter l'atterrissage brutal. Les autres font plutôt de la navigation à vue. La Russie assiste impuissante à la fuite des investisseurs, l'Inde est à la recherche de la martingale pour enfin accélérer la croissance, l'Afrique du Sud voit son horizon assombri par les conflits sociaux et le Brésil s'enfonce dans la croissance molle comme l'a confirmé aujourd'hui la Coface. Ce sont donc des pays qui ont surtout besoin de se remettre en selle qui vont se retrouver mardi à Fortaleza.
                                                                                                               
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Un bus de la Sotra fait un accident. Le chauffeur est mort. 33 blessés.

De fait, de sources sécuritaires, peu après 4h du matin, le mardi 8 juillet 2014, un bus de ramassage qui allait déposer les travailleurs à la Direction régionale de Koumassi, parvient à Adjamé dans les environs de la place Indenié dans le sens Adjamé-Plateau. 
Tout se passe bien lorsque le chauffeur surpris par un autre chauffeur perd le contrôle de son engin. Le mastodonte traverse l’autoroute à trois voies avant d’échouer sur la rue menant au groupe de presse gouvernemental Fraternité Matin. Non sans déraciner un arbre qui a tenté de le freiner.
Le bilan est lourd : le chauffeur est tué sur le coup quand les sapeurs pompiers de l’Indenié, non loin de là, extirpent du bus cabossé, trente trois (33) blessés dont des cas jugés graves. Ils ont tous été évacués vers des centres de santé appropriés. Toutefois, un communiqué émanant de la direction de communication de la Sotra fait état de ce qu’une "Toyota" de type ER 56 L1, immatriculée 7656GJ-01 en provenance du Plateau pour la Commune de Cocody, conduite par Yobouet Yves, transportant à son bord des passagers adolescents, aurait quitté sa voie pour se retrouver dans le sens inverse, juste devant un bus de ramassage des agents Sotra du Département Réseau-Bus de Koumassi.
Le chauffeur du bus voulant éviter la Toyota a violemment percuté un arbre, en bordure de la voie et a malheureusement perdu la vie. 33 agents SOTRA blessés ont été immédiatement admis dans des centres de santés de la place.

M’BRA Konan

vendredi 27 juillet 2012

OUATTARA (AO) CURIEUX SAUVEUR

Alassane Dramane Ouattara serait-il devenu le bon samaritain des tropiques ? Nous ne réprimerons pas l’envie de répondre oui. Mais ici, il est un curieux sauveur. En effet, lors de l’une de ses nombreuses pérégrinations, Ouattara aperçu la Côte d’Ivoire gisant dans son sang, ses bassesses et ses souffrances. Il s’approcha de l’épave et eu la gentillesse de verser quelques fines larmes bien chaudes. Il récupéra la Côte d’Ivoire pour dit-il, la soigner, à sa manière bien sûr. Et depuis plus d’un an, il soigne notre pauvre pays, un pays où le taux de pauvreté avoisine les 50%. Un pays où le Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) est fixé à 36 607 FCFA. Depuis plus d’un an, les tendances des prix des produits de première nécessité est à la hausse. Les finances des ménages ont toutes connues un dépérissement au point où des commerçants on cru bon créer le slogan « Gbagbo ka fissa » c’est-à-dire « Gbagbo est mieux » en langue malinké. Les travaux « herculéens » engagés est un rideau translucide qui dévoile la misère du bas peuple. Depuis qu’il soigne ce pays, rien ne va. La Côte d’Ivoire vit au rythme des massages cardiaques, des comas répétés et des convalescences précaires Pourtant elle est entre les mains d’un sauveur, un sauveur des pauvres, un bien curieux sauveur !

Après avoir secoué plusieurs entreprises en vue d’extirper les indésirables et grossir le cercle des pauvres, il met aujourd’hui le cap sur les universités publiques. Il veut, pour sauver les pauvres, secouer ces universités en vue de les tenir en marge du système. C’est la dernière thérapie qu’il vient de décrocher. Il ne s’est pas gêné de la publier. Désormais donc, pour sauver tous les pauvres qui auront la chance d’être orientés dans les universités publiques de Côte d’Ivoire, ceux-ci devront prendre les médicaments suivants : Inscription en Licence : 100 000 FCFA, Master : 200 000 FCFA, Doctorat : 300 000 FCFA (système LMD). Et puisque notre Alassane Dramane Ouattara est le nouveau chantre de l’intégration sous régionale (cela se comprend aisément), tous les étudiants de l’espace UEMOA sont alignés sur le même tarif. La situation de ceux qui sont hors espace UEMOA est pire que le cancer où le choléra ; Licence 300 000 FCFA, Master 400 000 FCFA, Doctorat 500 000 FCA.

Pour le bon samaritain des tropiques, le présent tableau des tarifs vise à sécréter des diplômés mieux formés, bien armés, compétitifs. C’est donc les yeux noyés de larmes que la pauvre Côte d’Ivoire a appris cette nouvelle. Un bref retour sur nos pas nous présente un tableau tarifaire totalement différent. Tous ceux qui faisaient les années antérieures (1980-2011), leurs premiers pas dans une université publique, déboursaient la modique somme de 7000 FCFA et 6000 FCFA pour les réinscriptions.

Parallèlement, les étudiants orientés dans les grandes écoles privées déboursaient à l’inscription, la somme de 40 000 FCFA. Avec Ouattara le curieux sauveur, les universités publiques sont plus chères que celles dites privées. Vive la Solution ! Avec Ouattara le bon samaritain des tropiques, dire d’une personne qu’elle est pauvre ne suffit pas à son bonheur. Il veut voir cette personne devenir une loque humaine offerte aux railleries des riches. Curieux sauveur des pauvres !

L’on a encore en mémoire, la thérapie qu’il avait destinée aux étudiants et enseignants lorsqu’il était 1er Ministre du père fondateur, notre seul nanan. Il avait généreusement supprimé les cars de transport des étudiants. Les restaurants universitaires avaient été concédés à des privés. Il avait supprimé les cartes de bus que l’Etat distribuait gratuitement aux élèves de l’enseignement secondaire. Les enseignants quant à eux, avaient reçu une bonne dose d’amour du sauveur des pauvres. Il avait particulièrement pensé à eux en leur attribuant un salaire à double vitesse. C’est ce que l’on a appelé le raccrochage.

Toutes ces mesures ont affecté l’école ivoirienne. Mais comme ce coup n’a pas été suffisant pour détruire définitivement tout le système, Ouattara le sauveur des pauvres a réinventer une autre thérapie. Pour la faire passer, il s’exerce à un lugubre jeu de séduction qu’il maîtrise bien : miroiter un lendemain aussi radieux que celui de ceux qui sortent de Harvard ou des sciences Po de Paris. L’on a ainsi entendu dire que cette mesure est la meilleure manière de crédibiliser les diplômes, de rendre les étudiants plus compétitifs, en un mot elle permettra de fournir au pays des têtes bien faites.

C’est à croire que depuis sa création jusqu’à ce jour, l’université n’a offerte à notre pays que des têtes creuses. Tellement creuses qu’actuellement les administrations sont tenues par les coopérants français et les institutions internationales ne comptent pas d’ivoiriens en leur sein. Le sauveur des pauvres se cachera certainement derrière le statut d’Etablissement Public National (EPN) de l’Université publique pour se dérober. Comme pour dire que l’université est un micro état à l’intérieur de la Côte d’Ivoire. Il se cachera peut être derrière les langues de peinture passées sur les murailles des universités pillées par ses partisans. Il ne dira certainement pas qu’il a construit de nouveaux amphithéâtres qui lui ont coûté les yeux de la tête et que les frais d’inscription faramineux devraient amortir.



Pour appliquer sa mesure il peut compter sur le zèle de ses courtisans. Oh ! Combien sont-ils à avoir claironné sur tous les boulevards, traitant les refondateurs de tous les noms d’oiseaux parce que l’idée de porter les frais d’inscriptions à 50 000 FCFA (tous les cycles) faisait son chemin dans le milieu universitaire. Ces courtisans sont aujourd’hui pris entre porter un coup d’œil dans leur maigre bourse et broder le siège du Rassemblement Des Républicains (RDR). Mais comme pour eux, les intérêts tribaux sont plus forts que le devoir d’objectivité, ils applaudiront les hérésies du pouvoir.


La Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) qui avait opposé un refus catégorique au projet de révision à la hausse des frais d’inscription, a été mise au cachot par le pouvoir.. Elle ne pourra plus freiner l’ardeur morbide des gouvernants. L’association des parents d’élèves, quant à elle, n’existe que de nom. Elle est juste là pour pondre de vagues communiqués. Les populations sont cloitrées dans les salons ; toutes tétanisées par les gris-gris des Dozos et uniformes bigarrés des nervis du pouvoir.

Ceux-ci n’attendent que la moindre fronde pour brandir leurs armes assoiffées de vies humaines. Les pauvres sont donc aux mains de celui qui prétend travailler pour eux. La thérapie qu’il propose est pour les riches et non les pauvres.

Bientôt l’on regardera le visage des résidences universitaires, elles aussi afficheront leurs prix faramineux. Ainsi va la Côte d’Ivoire sous Alassane Dramane Ouattara le curieux sauveur des pauvres.
Que Dieu nous sauve.

lundi 19 mars 2012

Entretien/ Murielle Ahouré (Médaillée d’Argent aux Mondiaux de Turquie) « Je rêve de l’Or aux JO »

Vous n’êtes pas très connue….
Je me nomme Murielle Ahouré. Je suis née en 1987 à Abidjan. Je suis la fille du Gal Mathias Doué, ma mère est originaire de Bonoua. Je suis partie aux Etats Unis en 2000 après le coup d’Etat de 1999. Une fois là-bas, j’ai commencé à pratiquer l’athlétisme et voilà que j’ai été récompensée avec cette médaille d’argent.

Comment êtes-vous arrivée à ce niveau?
Je n’avais jamais pratiqué l’athlétisme quand j’étais à Abidjan. C’est aux Etats-Unis que tout a commencé. Je suis rentrée à l’Université où je n’avais pas d’amis. On m’a dit que si je voulais en avoir, il fallait que je pratique le sport. C’est ainsi que j’ai choisi l’athlétisme. Je me suis entrainée régulièrement dans des centres de haut niveau parmi lesquels celui de Carl Lewis. J’ai participé à plusieurs compétitions, mais pour ma première au plan international, j’ai réussi à obtenir la médaille d’argent.

Vous attendiez-vous à un tel accueil à Abidjan?
Pas vraiment. On a l’habitude de fêter le football. Aujourd’hui, ça m’a fait vraiment plaisir de voir une telle mobilisation à l’aéroport. Je veux remercier l’implication des autorités ivoiriennes grâce à qui j’ai pu participer à ce rendez-vous mondial.

Pour vous, que représente cette médaille ?
Cette médaille représente beaucoup pour moi. Elle me permet déjà de participer aux prochains Jeux Olympiques à Londres. En plus, je tenais à la remporter pour la jeunesse ivoirienne. Une façon de dire que dans la vie, tout est possible. A force de travail on arrive à ses fins.

Vous étiez sollicitée par plusieurs pays. Pourquoi avoir décliné l’offre pour courir forcément pour la Côte d’Ivoire ?

C’est par amour pour mon pays. C’est également un message fort que je voulais donner à l’Afrique entière. Concernant la Côte d’Ivoire, je voulais montrer qu’il n’y a pas que le football. Je veux être un modèle pour les jeunes filles.

28 ans après l’exploit de Gabriel Tiacoh, vous êtes une réelle chance pour la Côte d’Ivoire. Etes-vous consciente de la responsabilité qui pèse désormais sur vous ?
Bien sûr que j’en suis consciente. Je vais me préparer sérieusement pour les Jeux Olympiques de Londres 2012. J’espère qu’à ce rendez-vous, je pourrai revenir avec la médaille d’or. C’est même mon vœu. Je me rends désormais compte que l’attente du peuple ivoirien sera grande.

Vous étiez bien partie pour remporter l’or à la dernière compétition. Que s’est-il passé dans les derniers instants ?
Effectivement, j’étais bien partie, mais la Jamaïcaine, Véronica Campbell, celle qui a remporté l’or, est une habituée des circuits européens. Quant à moi, c’était ma première compétition internationale. Je suis bien sortie, mais elle a beaucoup plus d’expérience. A partir de 10 m, elle a commencé à plonger et elle est arrivée en tête.

Qu’est-ce qu’il vous faut pour faire une bonne carrière ?
Il me faut beaucoup de moyens. Il faut qu’on m’aide financièrement. Mes parents m’ont beaucoup aidée dans ce sens. A présent, l’Etat doit prendre la relève. J’ai un médecin et un kiné qu’il me faut rémunérer. Il me faut aussi des moyens pour me déplacer dans les différents Etats pour me préparer convenablement.

Vous avez été reçue par le président Ouattara. Avez-vous été rassurée dans ce sens ?
Ça a été un plaisir pour moi de rencontrer le président de la République. Il a promis de m’aider. D’ailleurs, il m’a fait savoir qu’il est très fier de moi. Il dit que je suis une étoile pour la Côte d’Ivoire. Je suis convaincue qu’il mettra tout à ma disposition pour que je fasse une grande carrière. Je repars rassurée.

A quel athlète vous identifiez-vous ?
Je m’identifie à une championne américaine du nom de Florence Griffith-Joyner. Elle est brillante et très belle. Malgré ces exploits, elle est toujours féminine, le maquillage, les vêtements féminins etc. Elle est mon idole.

Réalisé Par Moïse N’Guessan

mardi 11 janvier 2011

Ivoire Blogs Awards

Afin de soutenir la production d’informations alternatives et l’expression des citoyens, l’Association Avenue Afrique organise Ivoire Blogs Awards. Le premier concours de blog à l’intention des blogueurs ivoiriens, ou des blogs sur la Côte d’Ivoire.
L’Association Avenue Afrique vise à offrir un espace d’expression et de débat alternatif et participatif, ouvert à tous les citoyens africains à travers le monde. Elle propose également de se saisir des nouvelles technologies, et particulièrement de plates-formes collaboratives d’édition et de publication web de contenus tel que les blogs, pour montrer le quotidien de ces pays le plus souvent défavorisés du point de vue des médias et en déficit d’informations critiques.
La compétition est donc ouverte ! Pour connaître les critères, le calendrier, les prix, les membres du Jury … rendez-vous sur le site du concours.

samedi 9 janvier 2010

CAN: Le car togolais mitraillé

Selon RMC, l'attaque a eu lieu vers 15h15, alors que le car des joueurs venait de pénétrer dans l'enclave de Cabinda, l'un des quatre sites de la 27e édition de la compétition continentale africaine où doivent évoluer les quatre équipes du groupe B (Togo, Côte d'Ivoire, Ghana, Burkina Faso). Le car avait quitté plus tôt Pointe-Noire, au Congo Brazzaville. Les témoins ont précisé que l'attaque a été très brutale. La délégation s'est protégée en se couchant dans le car dont toute la partie avant a été prise pour cible. Dans un communiqué, les Forces de libération de l'Etat de Cabinda (FLEC/PM) ont annoncé que «cette opération n'était que le début d'une série d'actions ciblées qui se poursuivront sur l'ensemble du territoire de Cabinda».

l'expérience

«Qui a été mordu par un serpent évite les hautes herbes.»